Naissance de Nevaeh Kant, fille d’une prostituée, Rose Kant, et demi-soeur de Citseko Kant.

4 ans. Rose la vend à l’un de ses clients, un scientifique, qui l’emmène dans une base secrète afin de mener des expérimentations génétiques sur la gamine. On lui donne le numéro 368 en guise d’identité.

10 ans. Fin des expérimentations, ils ont rendus sa peau identique de celle des caméléons, mais elle ne contrôle pas encore le changement. Des psychologues l’aideront à mettre un nom sur ses émotions et à les contrôler, pour contrôler ainsi le changement de son épiderme.

12 ans. 368 est vendue aux Russes, elle entame 8 années d’entraînements militaires en sus d’une éducation scolaire poussée, le tout à l’extrême pour rattraper des années de retard. Elle ne dort que 6h par jour, voir pas du tout. Les Russes font d’elle une arme.

18 ans. Premier meurtre, elle tue son entraîneur suite à un énième entraînement et n’en ressent aucun remord, c’est une coquille vide. Ils jugent qu’elle est prête, mais ils continuent de la pousser dans ses retranchements durant 2 ans encore.

20 ans. Elle passe les tests de recrutements et devient “officiellement” un agent secret du renseignement Russe. L’agent mène les missions à terme, excellent dans l’art du camouflage qui lui permet de récolter un maximum d’informations, mais sème toujours des cadavres derrière elle. Quand bien même cela ne s’avère pas toujours nécessaire.

32 ans. Elle est capturée lors d’une mission à Xi’an, elle subit multiples tortures, mais elle sera trahie par les Russes quand ils tenteront de la tuer pour s’assurer qu’elle ne dise rien de ce qu’elle sait. Suite à cette trahison, elle déserte, non sans balancer tout ce qu’elle sait aux Chinois.

34 ans. S’installe à Europolis, où elle retrouve son demi-frère Citseko. Elle sait tout de lui, mais lui cache une partie de son passé. Il l’aide à s’intégrer à la ville, à trouver une nouvelle identité, ils se reconstruisent. Difficilement. En parallèle, toujours victime d’un besoin irrépressible de tuer, elle rentre en contact avec une intermédiaire et s’enrichit en tuant des gens, sans distinctions.

37 ans. Rencontre celle qui deviendra sa protégée, elle l’aide à démanteler un réseau de trafic humain. Le travail fait, la gamine lui apprend être orpheline, Fallon l’adopte et se jure que personne ne lui fera de mal.

41 ans. Vampyr devient source d’inspiration, Fallon commence à être plus regardante sur les contrats qu’on lui propose. Petit à petit, elle ne prend plus que ceux coupable d’un crime et se fait justicière. Elle met ses compétences d’espionne en oeuvre pour trouver les preuves de leurs méfaits et les dépose sur leurs cadavres, avec comme signature, Vyper.

44 ans. Venom commence à naître, sa protégée veut suivre les traces de Fallon qui a finit par accepter de l’entraîner. La mort de Vampyr ne change rien à l’oeuvre qu’elle poursuit.

Salut ! Moi c'est Sophie. mais appelez moi So. J'ai connu le forum via Torben et je pense que il est WTF   .
Sur une échelle de présence de 1 à 7, je pense être présent(e) 5/7.

“Comment se déroulent les greffes de 368 ?” S’enquit le scientifique, les bras croisés, il observe l’enfant alité, derrière la vitre teinté de la chambre. “Plutôt bien aux nano-cristaux, mais son corps rejette en bloc les iridophores. La semaine prochaine, nous lui retirerons les bandages, nous ferons une batterie de tests pour déterminer si les nano-cristaux fonctionnent.” Réponds le scientifique en charge personnellement des expériences de 368. Le boss prend une expression contrariée, ça ne va pas assez vite à son goût, mais 368 est la seule à avoir survécue jusque là, la patience est une vertu dans son travail. Il prévoit tout de même de se procurer d’autres enfants, au cas où. “En attendant, augmentez de 2 milligrammes les injections et attendez le mois suivant pour lui greffer les iridophores.” Ordonne-t-il. “Je veux qu’elle soit parfaite Bacchus, te loupe pas sur celle-ci. Elle nous rapportera des millions.”

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C’est à cela qu’à ressemblé l’enfance de Nevaeh, petite sénégalaise, vendue à 4 ans par sa mère. Enfant non désirée, accident de parcours d’une prostituée qui ne pouvait se permettre d’élever 2 enfants. Petite fille vendue à un client. Condamnée, pour quelques malheureux dollars, à subir de multiples expériences génétiques et greffes par des scientifiques ne possédant pas une once d’humanité. De ses 4 à 10 ans, chaque semaine, elle ne subira que des expériences scientifiques, enfermée dans une chambre stérile, renommée et réduite à simple état de numéro.

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Les portes s’ouvrent, la soudaine clarté lui fait plisser les yeux et lever le bras pour s’en protéger. Un rayon vient lui réchauffer le visage, au lieu d’en savourer l’instant, elle en a peur. 368 ne se souvient pas du soleil, ni du vent qui soulève ses cheveux courts. La sécurité pour elle ce sont les murs blancs, une température constante et des néons lumineux, là dehors, elle y voit des éléments inconnus, de la couleur, une brûlure sur les parties de son corps nus, une luminosité aveuglante. “Viens 368, n’aie pas peur, je suis là.” L’enfant cligne des yeux et remarque Bacchus, un sourire aux lèvres, il semble l’inviter à le suivre. Elle hésite, terrifiée, pourtant, ses pas la mènent jusqu’au scientifique. Ce dernier lui prend la main et la retourne pour observer la couleur de sa carnation. Gris. En temps normal, sa peau est chocolat au lait, comme il aime à lui dire.

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C’est ainsi, qu’elle découvre ses premières émotions, changeantes, effrayantes, tandis que sa peau y réagit en une multitude de couleurs. Les batteries d’expériences sont terminées, les scientifiques s’extasient sur leur réussite, sur leur caméléon humaine. Si elle ne subit plus de multiples opérations, elle n’est pas en paix pour autant. Chaque jour, elle retrouve madame Jenny, qui n’arrête pas de poser des questions, parfois elle donne des réponses, notamment sur ce qu’elle ressent et par conséquent, ils mettent une émotion sur la couleur de sa peau changeante, mais surtout, ils lui apprennent à changer de peau sans ressentir d’émotions.

A 12 ans, Pour des Millions d’Eurodollars, une agence de renseignements l’achète, elle ne sait pas encore qui, mais son quotidien change du tout au tout. Les 8 ans qui suivent, elle est formée, toujours isolée du monde extérieur. 18 heures par jour, elle étudie ou elle s’entraîne, ils veulent la rendre exceptionnelle et ils y mettent les moyens. Ils annihilent toutes émotions en elle, attendent d’elle une comédienne, une concentration optimale, un contrôle total de ses émotions, une capacité d’adaptation hors du commun, mais pas seulement. Sa peau fait d’elle un caméléon, un être capable de se métamorphoser ou de se fondre totalement dans le décor. Le seul moment de répit dont elle dispose sont ses 6 heures de sommeil, mais parfois, ils ne la laissent pas dormir, pour repousser ses limites au maximum. Nevaeh n’a rien d’humaine, ils ne la considèrent pas ainsi, de fait, elle non plus. Elle est juste l’instrument, une arme montée, démontée et remontée, pour la rendre parfaite, selon eux.

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Le coup de pied l’atteint dans le ventre. Putain, ça fait mal. Le corps tombe à terre, contusionné, douloureux. L’adolescente fait rapidement le point sur ses blessures, au moins 2 côtes cassées. Son genou a déjà claqué, son poignet lui fait atrocement mal, elle passe sa langue sur ses lèvres et lèche le sang de sa lèvre fendue. Il ne fait pas semblant. “Relève-toi, concentre-toi.” Ce qu’elle fait, mais il a tôt fait de la renvoyer à terre, encore et encore, inlassablement. Nevaeh attend le bon moment, l’ouverture dont elle a besoin, si elle doit encore recevoir des poings, elle encaissera. Ce qu’elle fait, jusqu’à ce qu’il commence à se fatiguer, elle l’entend à son souffle, il met moins d’entrain dans ses coups, se fait moins vigilant. Nevaeh est à terre, pour la énième fois, le souffle court et le corps endolori, concentrée sur ses émotions afin que sa peau ne change pas. Elle reste à terre, attend qu’il s’approche d’elle, puis se saisit de sa cheville qu’elle tire vers elle. Surpris, son professeur tombe à terre, non sans lui administrer un coup de pied de son autre jambe. La jeune fille fait appel à toutes et ses dernières forces pour se jeter sur lui, d’une clé de bras, elle le cloue au sol et patiente qu’il donne le signal. Il frappe 3 fois au sol. Nevaeh se redresse sur les genoux, mais au lieu de s’éloigner, elle attrape son visage et lui brise la nuque. Ils veulent une espionne, une tueuse, une arme. Ils l’ont.

** Patrie.Vaillance.Honneur **

A 20 ans, elle passe tous les tests de recrutement et entre officiellement au service des agences des renseignements Russes, elle obtient le permis de tuer. Nevaeh est le parfait petit soldat de l’agence, dont seuls les plus hauts dirigeants sont au courant de ses aptitudes hors du commun, un secret qu’elle se garde bien de dévoiler. Nevaeh ne se pose pas de questions, elle est une arme, un atout, indispensable, et ça lui suffit amplement. On lui donne sa première mission, une cible, un objectif. Puis une deuxième, troisième et ainsi de suite.

Pourtant, leur plus grande erreur, fut de la lâcher dans la nature. Si elle mène toujours ses missions à terme, dépourvue de moralité, prête à tout pour arriver à son but, elle découvre la vie sous un oeil nouveau, découvre la liberté, d’une certaine manière. Nevaeh connait tout de la théorie et l’histoire de ce monde, désormais libre, elle réalise que la pratique lui plait. Elle retrouve un semblant de mémoire, de sa vie d’avant. La jeune femme se souvient vaguement d’une mère, mais surtout d’une autre personne. Citseko Kant, son demi-frère.

Elle entame des recherches à son sujet, mettant à contribution ses qualités et ses ressources en secret. C’est long, surtout parce que son travail lui demande beaucoup d'investissement personnelle, voir totalement lorsqu’il s’agit d’infiltrer un réseau. L’espionne a porté de multiples casquettes, prostituée, assistante de direction, mafieuse, elle joue la comédie pour le compte de ses patrons, mais elle en retire un enseignement à chaque rôle qu’elle doit interpréter, un goût plus prononcé pour sa liberté.

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L’ombre se meut dans la pièce, à pas silencieux, elle se rend jusqu’à l’ordinateur qu’elle allume. Il demande un mot de passe, qu’elle ne connait pas, mais ce n’est qu’une question de temps pour le trouver grâce à la clé usb qu’elle branche et au programme qui ne manquera pas de décrypter tout ce qu’elle veut. Quelques touches judicieusement saisies et le programme se lance, en peu de temps elle a enfin accès aux dossiers de l’ordinateur. L’espionne recherche les informations que veulent ses patrons et les copient dans la clé USB, quand des voix se font entendre de l’autre côté de la porte. Lorsque celle-ci s’ouvre, l’ordinateur est allumé, mais la jeune femme s’est planquée dans l’ombre d’un placard, elle se concentre pour faire prendre à sa peau la couleur anthracite du meuble, la combinaison qu’elle porte et spécialement conçue pour elle, prend la même couleur. De fait, quand les deux agents allument la lumière, ils ne la voient pas. Ils s’inquiètent de voir l’ordinateur allumé, elle attend de voir s’ils vont venir voir de plus près, elle espère qu’ils le feront. C’est dans ses tripes, Nevaeh veut passer à l’action, ses mains tremblent à l’idée de le faire. C’est pourquoi, elle n’attend pas avant de les tuer et pouvoir être tranquille.

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A chaque crime, il lui en faut plus. Une pulsion qu’elle peut difficilement maîtriser à l’inverse de sa capacité. Elle n’en dit rien à ses patrons, ils n’y verraient qu’une anomalie qu’ils chercheraient soit à éliminer, soit à réparer. Hors, elle a passé bien assez de temps enfermée dans une chambre stérile à subir multiples opérations. L’espionne cache son envie irrépressible de tuer, malgré le fait qu’elle sème des cadavres à chaque mission qu’elle exécute. S’ils s’en rendent compte, ils ne font rien pour l’arrêter.

Après des années de recherches, elle découvre enfin où se terre son demi-frère. Il fait partie d’un commando qu’ils ont appelé “fantômes”, une unité,  dont le seul but est de traquer les monstres. Comme elle. Au lieu de s’en inquiéter, elle s’amuse de la situation, mais ce n’est pas encore le moment de partir à sa rencontre. Ses patrons la surveillent, comme s’ils se doutent qu’elle est proche du gouffre, qu’elle songe de plus en plus à sa liberté.

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“Qu’est-ce tu fous là ?” “C’est comme ça que tu me remercies ?” Rétorque-t-il en s’approchant d’elle. “Qu’est-ce tu fous là ?” Répète-t-elle. “Les règles sont claires, si on se fait choper, personne ne vient nous libérer.” Elle sourit, quelque chose qui n’a rien de joyeux. Dans sa folie meurtrière, elle s’est fait prendre, ils étaient plus nombreux qu’elle et malgré son entraînement poussé, ils lui sont tombés dessus. A 1 contre 5, aucune chance de s’en tirer, même si elle en avait entraîné 2 dans la mort. Ça fait des jours qu’elle subit les tortures de ces maudits Chinois, à Xi’an. C’est à cela que ressemble la vie d’un espion, si on tombe, personne viendra vous relever. “Il se trouve qu’apparemment, tu détiens des informations que les boss veulent absolument avoir.” Il ment cet enfoiré, mais elle va faire comme si elle ne s’en rend pas compte, pour l’instant. L’imbécile vient lui libérer les chevilles, puis les poignets, elle se maintient debout en s’appuyant contre le mur. Il lui parle, elle ne l’écoute pas. Un débutant. Elle sait exactement ce qu’il vient faire ici, la tuer, pour s’assurer qu’elle ne parle pas. Dans ses veines, l’adrénaline l’envahit, l’envie de meurtre la saisit et elle s’y laisse totalement guider. Vive, ivre, elle s’empare de son visage et lui brise la nuque d’un geste fort et sec.

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Après cet épisode, et son évasion, elle n’est certainement pas retournée au QG de l’agence de renseignement. Le mieux, c’est qu’ils la pensent morte puisque c’est ce qu’ils désiraient. Sans hésitation, elle vend toutes les informations qu’elle possède aux Chinois, ils lui proposent d’être un agent double, mais elle refuse avant de disparaître avec une belle somme en poche et pas une once de remords dans sa caboche. Nevaeh décide qu’il est temps de retrouver son demi-frère.

Elle ne travaille plus pour les Russes, mais elle n’est pas démunie pour autant, au contraire, toutes ces années à travailler pour eux lui a permis de constituer un réseau d’informateurs à travers le monde. Il ne lui faut que quelques mois pour retrouver Citseko, dans l’anonymat, à Europolis. Il l’imaginait morte depuis le temps, mais quand elle lui demande de garder pour lui leurs retrouvailles, il accepte et l’aidera même à se construire une nouvelle identité. Ils ne se sépareront plus, et jamais il ne lui vient à l’esprit de lui avouer tout son passé, certainement pas ce que des scientifiques ont fait d’elle.

Fallon Ward se reconstruit à Europolis, le plus difficile est de gérer ses envies de meurtres. La question se pose, dans quoi se reconvertir quand on est doué pour tuer ? Autant que ça serve à d’autres, et c’est ainsi qu’elle commence à vendre ses services aux plus offrants, dans une ville pourrie par la criminalité. En parallèle, elle entame des études informatiques, histoire d’avoir une couverture. La femme goûte enfin à la liberté tant désirée et la savoure sans restrictions.

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Fallon entend des sons étouffés derrière la porte, des gémissements, mais rien à voir avec du plaisir, précédé par ce qui ressemble être des coups. Poings contre peau. Clac. Gémissement. Clac. Cette fois, un cri féminin. Elle vérifie si la porte est fermée à clé, quand le battant s’ouvre sans résistance, elle entre silencieusement. Il lui tourne le dos alors qu’il tabasse une pute, elle a tout l’air d’une adolescente. Fallon n’est sans doute pas la plus humaine sur terre, mais elle ne supporte pas qu’un type tabasse une gamine, ajoutez à ça, son besoin viscéral de buter régulièrement et il n’en faut pas plus pour que le mec se prenne une balle dans le crâne. Le sang éclabousse la pièce et la gamine. Fallon soupire, tant pis pour les informations qu’elle voulait retirer de sa cible. “Tu bosses pour Keaton ?” Demande-t-elle à la gosse. Elle acquiesce. Elle manque pas de cran, la plupart des femmes se seraient mises à hurler en se retrouvant avec de la cervelle sur le visage. Fallon s’accroupit devant la gamine pour l’observer, puisqu’elle vient d’éliminer son potentiel informateur, elle doit en trouver un autre. Qui de mieux qu’une de ses filles pour arriver jusqu’à lui ? “Deux options s’offrent à toi maintenant. Sois tu envisages de balancer à ton mac ce que tu viens de voir et je serais obligée de te tuer. Sois tu m’aides à rapporter la tête de ce salopard à mes clients.” La gamine a une sale gueule, mais son regard est on ne peut plus clair.

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Certains contrats s’exécutent en 1 journée, d’autres nécessite plusieurs semaines, voir des mois. La gamine avait accepté le deal et espionnait le réseau de prostitution pour Fallon. Sa cible, n’était autre que le grand manitou du réseau de ce trafic humain. Malheureusement pour lui, il avait mis sur le trottoir une gosse de riche et les parents l’avaient engagé pour des millions. Un contrat qu’il faudrait être fou pour refuser, mais pas des plus simples à exécuter. Au bout de 2 mois, ce fut chose faite et la gamine était libérée de ce mac tyrannique. Seulement, elle n’avait nulle part où aller et si Fallon ne se l’explique toujours pas, elle l’a pris sous son aile.

Kate vit désormais avec elle, depuis des années. Elle ne s’est jamais accordé le luxe, ni la faiblesse, de s’attacher à quiconque, mais la gamine éveil en elle un instinct de tout autre nature. L’affection. Qu’a-t-elle de si spécial ? Fallon l’ignore, le fait est qu’elle s’est promis que plus personne ne lui ferait du mal. Elles vivent dans un quartier miteux, dans un appartement tout aussi vétuste, elles peuvent se permettre beaucoup plus de confort, mais Fallon préfère l’ombre des quartiers mal famés, aux quartiers luxueux qui attirent davantage l’attention.

Ma célébrité

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Mon métier officiel

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Mon métier officieux

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Mon Groupe

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