Naissance sous X d’une petite fille qui est adoptée par Monsieur et Madame Wilson.

Riley apprend qu’elle a été adoptée. Ses parents sont surpris par son manque de réaction mais ne s’en plaignent pas. Riley reste égale à elle-même ! Une petite fille appliquée à l’école mais assez solitaire.

Quelques jours après la rentrée des classes Riley se fait kidnapper en rentrant de l’école. Aucune rançon n’est demandée, elle rejoint le rang des jeunes victimes du trafic sexuel.

Riley est vendue à plusieurs reprises à des pédophiles qui la torturent et la violent. Après deux tentatives de suicide mises en échec par ses bourreaux elle décide que si elle ne peut pas mourir, elle doit les tuer .

Riley tue le client de son ‘propriétaire’ et fais de même avec ce dernier avant de s’enfuir. Elle tombe sur une patrouille de la police et leur raconte son histoire.

Sa réadaptation à la vie ‘normale’ est difficile. Riley intègre une école militaire, principalement pour apprendre à tuer. Ses parents sont soulagés par son départ principalement à cause du fait que Riley est trop instable pour rester vivre avec eux.

Déterminée, Riley rattrape son retard dans les études et impressionne ses enseignants et supérieurs pour tout ce qui concerne le domaine militaire. De manière positive de par sa résistance, son application et sa réactivité mais de manière négative à cause de son comportement parfois, souvent provocant et impulsif.

Riley est envoyée sur le terrain. Sa résistance physique et son manque d’empathie font d’elle une tueuse. Comme elle le dit souvent : « Ce sont eux ou moi… Je préfère que ce soit eux ! »

Alors que l’Union Européenne envoie des troupes contrôler en Afrique les ports et sources de matières premières stratégiques, la vie de Riley change une nouvelle fois. Abordée par un certain Raulne qui a repéré ses ‘compétences’ elle accepte de devenir un Fantôme.

Opérations secrètes au Niger, opération "Squelettes" où les Fantômes traquent et abattent les rats de laboratoire d'Areva, qui "luttait contre le cancer". Riley n’est pas certaine que cela soit la vérité mais dans le fond elle s’en fout.

Les permissions étant plus nombreuses Riley essaie, difficilement, de s’adapter à la vie civile si différente de ce qu'elle connait lorsqu'elle est en mission. Elle accumule les flirts sans lendemain avec des femmes en attendant de repartir car la guerre en Asie couve…

Débarquement au Japon… Débarquement en Chine… La guerre n’en finit pas. Les blessures sont nombreuses et les pertes de soldats le sont davantage. Mais le plus étrange reste les missions que les Fantômes doivent accomplir ! Riley ne dit rien et obéit mais s’interroge.

Opération "Götterdämmerung", Crépuscule des Dieux. Riley et les autres Fantômes interviennent à Minsk, en Biélorussie, alors que l'Union a jeté toutes ses forces contre l'agresseur russe, affaibli. La jeune femme découvre l’existence des Valkyries qu’elle combat pour protéger ses frères et sœurs d’armes. Beaucoup perdent la vie mais le temple des guerrières aux chevaux ailés est détruit… comme le peu de raison qui restait à Riley.

Le retour à la vie civile déplait à Riley. Les séances de psy ne lui servent qu’à déceler un manque d’empathie qu’elle a depuis son enfance. Les jobs qu’elle se trouve ne l’intéresse pas et lui donne l’impression de ne pas faire partie de ce monde.
Apprenant qu’une ancienne Fantôme, Kajsa, tient un bar, Riley lui demande un job. L’idée d’être barmaid s’évanouit quand elle apprend l’existence du club de strip-tease. Riley devient danseuse / strip-teaseuse au Seven Keys.

Riley vit au jour le jour et dans l’excès. Quand elle ne bosse pas au Seven Keys, elle sort, flirte, boit, fume mais jamais elle ne consomme de drogue.

Raulne, quitté par sa femme, reforme le peloton d'origine avec les survivants des Fantômes. Riley est immédiatement partante lorsqu’elle apprend que Kat’ a besoin de thune pour sauver son enfant.
Avec des masques de renard, les Fantômes attaquent des fourgons blindés pour récolter l’argent nécessaire mais aussi pour à nouveau se sentir utile, en vie.

Salut ! Moi c'est Sab mais appelez moi Lilith. J'ai connu le forum via le fondateur et je pense que c’est une tuerie.
Sur une échelle de présence de 1 à 7, je pense être présente 5/7.

- Mon histoire ne commence pas par ‘Il était une fois une adorable petite fille que ses parents aimaient…’ ! Elle n’a rien d’un conte de fée. En réalité mon histoire fait partie de celles qui ne se racontent pas ! Et puis vous avez mon dossier. … Je peux ? dis-je en indiquant une cigarette que je venais de sortir de mon paquet.

- Je veux bien faire une exception si tu me raconte toi-même ton histoire Riley.


Je haussais les épaules en allumant ma cigarette. C’était bien là une vraie réponse de psy ! Je n’aimais pas parler de mon passé mais si cela pouvait me permettre de m’en griller une, pourquoi pas ! Comme ma psy, qui entre nous était assez sexy, me l’avait demandé un peu plus tôt je me replongeais dans mon enfance et la lui racontait. Période assez courte qui avait durée jusqu’à mes dix ans… Je n’avais pas grand-chose à dire sur cette période ! J’étais une petite fille consciencieuse à l’école et un peu trop solitaire du point de vue de mes parents… ou des personnes qui m’avaient élevée. Car oui, Madame et Monsieur Wilson n’étaient pas mes parents biologiques. J’étais née sous X un 29 mars de l’année 2017 et ils m’avaient adoptée quelques jours plus tard.
Est-ce que je leur en avais voulu ? Je répondais par la négation à la psy. Pour éviter des questions supplémentaires je disais que leur amour m’avait comblé et qu’ils avaient, à mon humble avis, attendu le moment propice pour me parler de ladite adoption. Mes propos semblèrent convaincre la psy ou elle était aussi bonne comédienne que moi.
Mais la vérité c’était qu’apprendre que j’avais été adoptée ne m’avait fait ni chaud, ni froid comme on dit. C’était pour moi un fait inaltérable et je ne voyais pas en quoi faire une crise aurait changé quoique ce soit. Et oui, je pensais comme ça à dix ans…


- Tu peux me parler de ta rentrée des classes de 2027 ?


Je fixais la femme en face de moi, en tirant une bouffée que j’appréciais avant de répondre.


- Si vous aimez le sordide, et les trucs bien glauques, y’a pas de problème ! Enfin… J’imagine que vous devez entendre de sacrés horreurs dans ce bureau.  


Sordide… Ce mot collait bien à ce que j’avais vécu après mon enlèvement quelques jours après la rentrée des classes. En toute franchise, je n’ai gardé aucun souvenir des premiers jours et j’aurais préféré qu’il en soit de même pour quatre années et quelques mois qui avaient suivies. Mais non… lorsque j’avais repris mes esprits j’avais, sans le savoir ni le comprendre, rejoint les rangs des jeunes victimes de ce qu’on appelle le trafic sexuel.


- Trafic ! Tu parles d’un mot… C’est presque joli ! De la barbarie… Oui, c’est ça le mot exact.


Comme tout enfant naïf d’une dizaine d’année je savais qu’il y avait des méchants… Mais ces hommes ! Ceux qui m’avaient enlevés, puis les autres ; ceux qui m’avaient ‘acheté’ n’étaient pas méchants. Ce n’étaient même pas des monstres ! Leur cruauté allait au-delà de ça. Pour moi ils étaient des créatures sans âme, sans conscience, sans morale. Un méchant vole de l’argent, cambriole une maison, tue parfois… mais il ne vend pas une enfant à des pédophiles pour qu’elle soit violée et torturée encore et encore jusqu’à tenter à deux reprise d’en finir. Mais je n’avais pas réussi ! Mes bourreaux étaient trop vigilants pour que j’arrive à me tuer en paix pour fuir ce cauchemar.
C’était à ce moment là que j’avais décidé que c’était eux ou moi et qu’au fond, je préférais que ce soit eux. J’allais devoir tuer mais cela ne m’effrayais pas et je ne craignais pas l’échec. Après tout ce que l’on m’avait déjà fait subir, ils ne pourraient jamais faire pire.

Je ne racontais pas à ma psy les détails mais je me souvenais parfaitement des gargouillis sinistres mais libérateurs et du sang qui avait giclé sur mon visage lorsque le couteau s’était planté dans la gorge du client de mon ‘propriétaire’. Je le revoyais encore en train de tenter de stopper l’hémorragie alors que je le regardais se vider de son sang. Il avait même essayé de récupérer son arme mais j’avais été plus rapide que lui. C’est elle qui m’avait servie à tuer mon bourreau au moment où il passait la porte pour venir voir ce qui se passait. Lui aussi j’aurais aimé le voir agoniser mais le coup était parti tout seul lorsqu’il avait essayé de me désarmer.


- Tu sais que tu n’étais en rien responsable de tout ça et que tu n’as pas à te sentir coupable n’est-ce pas ?

- Je ne me sens pas coupable ! Je reprenais en voyant l’air de la psy. Ils auraient fini par me tuer… Je n’ai fait que me défendre. Je sais que si je me sentais coupable cela voudrait dire qu’ils n’ont pas seulement ruiné mon enfance mais toute ma vie. Je ne veux pas que cela soit le cas.


En sortant de chez la psy je me disais que je m’en étais pas trop mal sortie puisque je ne me retrouvais pas enfermée chez les frappés du ciboulot !


La séance concernant mon retour à la vie dite ‘normale’ ne fut pas un monologue. J’avais principalement répondu à des questions basiques. Pourquoi avoir choisi d’entrer dans une école militaire ? La véritable réponse était que je voulais apprendre à tuer efficacement mais bien entendu je n’avais pas répondu cela. Comme au responsable de l’école j’avais répondu que mon manque de repères du à ma captivité me rendait instable, que je m’en rendais compte et que je voulais que cela change. J’avais besoin d’un cadre de vie strict avec des règles claires et précises. Ma facilité à convaincre me surprit presque moi-même ! Ou alors c’est que j’avais ça dans le sang… Manipuler les mots à mon avantage et être un soldat !
Déterminée, je rattrapais mon retard dans les études très rapidement et j’impressionnais mes enseignants et supérieurs pour tout ce qui concernait le domaine militaire. De manière positive de par ma résistance, mon application et ma réactivité mais de manière négative à cause de mon comportement parfois, souvent provocant et impulsif. Cela dit, personne n’est parfait !

Les séances se suivaient et se ressemblaient avec pour seul et unique but : savoir si je n’allais pas complètement vrillée une fois de retour à la vie civile. Chose complètement impossible ! Je m’en rendais parfaitement compte mais j’étais assez futée pour doser les informations que je donnais en faisant croire que j’avais été affectée mais que je savais qu’il fallait aller de l’avant en prenant son temps.
En allant me coucher après la cinquième séance je savais que j’étais sur la bonne voie pour qu’on me lâche enfin et que j’arrête de rendre des comptes.

La balle tirée à bout portant dans la tête de ce môme avait souillé mon uniforme et mon visage. J’étais en train de me passer de l’eau sur la figue lorsque mon chef d’unité, un certain Raulne, m’avait abordé sans aucune fioriture.

| Wilson, j'aime bien ce que tu fais. T'as des couilles. T'es prête à te salir encore un peu plus les mains ? Tu veux vivre éternellement ? |

Avant de répondre quoique ce soit je l’avais observé brièvement. Puis, du tac-o-tac, j’avais dit…

- J'aime ce genre de propositions... elles ne se refusent pas !

| Rassemble tes affaires, soldat, tu bouges dans la première section. | Ce à quoi Raulne avait ajouté | Fais gaffe à ton cul, et dors que d'un œil. Il y en a de pires dans le premier groupe que dans tout le reste du peloton. |

- Je compte peut-être parmi les pires... qui sait !


Je ne le savais pas mais je venais de rencontrer le premier homme en qui j’aurais réellement confiance et que je considérerais par la suite, comme un membre de la famille que je n’avais plus, ou que je n’avais jamais vraiment eu.

A mon réveil je fus surprise par ce rêve. Il était beaucoup plus fréquent que je fasse des cauchemars dont j’étais incapable de me souvenir une fois les yeux ouverts.
Je racontais cette bizarrerie à la psy qui m’expliqua qu’un tel rêve était une bonne chose. Et alors qu’elle parlait encore et encore, je m’égarais dans mes pensées. Mais la psy n’avait pas tort ! Cette rencontre avait changé le cours de ma vie… Après ça j’étais devenue une Fantôme et mon existence avait enfin eu un sens. La guerre ! J’étais faite pour ça. Non pas à cause d’un sentiment de justice… non ! Je pouvais tuer et cela me permettait d’évacuer toute cette rage qu’il y avait au fond de moi.
Débarquement au Japon… Débarquement en Chine… La guerre n’en finissait pas. Les blessures étaient nombreuses et les pertes de soldats l’étaient davantage. La guerre voulait ça mais il y avait quelque chose d’étrange dans les missions que les Fantômes devaient accomplir ! Je ne disais rien et obéissais non sans me poser des questions.
Manipulés ! Voilà ce que nous étions et je le comprenais lors de l’opération "Götterdämmerung", le Crépuscule des Dieux. Notre intervention à Minsk, en Biélorussie, donna lieu à un véritable massacre. Nos ennemis n’étaient pas communs. Non… Loin de là ! Je découvrais l’existence des Valkyries que je combattais, tuais pour protéger ses frères et sœurs d’armes. Les pertes furent terribles dans les deux camps mais le temple des guerrières aux chevaux ailés fut détruit… comme le peu de raison qui me restait.


- … et c’est pourquoi je pense que vous pourrez vous en sortir, déclara la psy. Si vous êtes capable de donner votre confiance et de vous projeter dans le futur, vous pourrez vous en sortir. Bien sûr, vous pouvez revenir me voir si vous en ressentez le besoin.


Vêtue d’un simple string noir je balançais mes vêtements par terre dans le vestiaire et fourrais mes billets dans mon sac avant de m’allumer une clope. Je n’étais pas certaine que ma psy pensait à ce genre de job quand elle m’avait dit que j’en trouverais un facilement. Mais tout ce que j’avais essayé avant d’être danseuse / strip-teaseuse au Seven Keys m’avaient donné envie de mourir… que cela soit secrétaire, vendeuse ou autre. Le genre boulot, métro, dodo, ce n’était pas pour moi ! J’avais l’impression d’attendre la mort…
Mon job au Seven Keys pimentait ma vie… C’était un plaisir d’attiser le désir chez ces hommes qui ne me toucheraient jamais et pour les femmes, c’était différent ! Si elles allongeaient la monnaie, elles avaient le droit à un bonus. Bien sûr, il fallait pour cela qu’elles me plaisent.
En bref, je vivais au jour le jour et dans l’excès. Quand je ne bossais pas au Seven Keys, je sortais, flirtais, buvais, fumais mais sans jamais toucher à la drogue.

Mais la donne a changé depuis ! Le Capitaine Raulne, quitté par sa femme, a décidé de reformer le peloton d'origine avec les survivants des Fantômes. J’ai immédiatement été partante lorsque j’ai appris que Kat’ avait besoin de thune pour sauver son enfant.

Ma célébrité

Code:

Jessica Lucas <span class="Gp_Lost"> ♦ <a href="/u32"><span class="Gp_Lost">Riley Wilson</span></a></span>

Mon métier officiel

Code:

Danseuse / Strip-teaseuse <span class="Gp_Lost"> ♦ <a href="/u32"><span class="Gp_Lost">Riley Wilson</span></a></span>

Mon métier officieux

Code:

Braqueuse <span class="Gp_Lost"> ♦ <a href="/u32"><span class="Gp_Lost">Bloody Fox</span></a></span>

Mon Alias

Code:

Bloody Fox <span class="Gp_Lost"> ♦ <a href="/u32"><span class="Gp_Lost">Riley Wilson</span></a></span> (<a href="Ne rien mettre ici. L ajout se fera par les modos du forum">Avis de recherche</a></span>

Mon Groupe

Code:

<a href="/u32"><span class="Gp_Lost">Riley Wilson</span></a></span>